Summary: | Les travaux présentés dans ce mémoire avaient pour but initial de vérifier si des conditions d'hypoxie in vivo, comme le passage du sang dans les capillaires, induisaient la relâche d'ATP par les érythrocytes. Pour ce faire, on a prélevé du sang d'origine veineuse et d'origine artérielle et on a mesuré la teneur en ATP de chacun des types de sang par la technique de luciférine-luciférase. Les résultats ont montré que les érythrocytes issus de sang artériel étaient significativement plus concentrés en ATP que ceux provenant de sang veineux. Dans un deuxième lieu, nous avons étudié, chez le cobaye, l'effet de différents nucléotides et nucléosides sur la pression sanguine. Nos résultats ont montré que seul l'ATP, et non l'UTP ou le CTP, avait un effet significatif sur la pression sanguine en provoquant une hypotension. Nous avons ensuite tenté de cibler le mécanisme par lequel l'ATP induit une vasodilatation."--Résumé abrégé par UMI.
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