La violence de vivre : suivi de Catharsis, création et propagation de l’espoir

Cette thèse en création littéraire comporte d’abord un roman jeunesse : La violence de vivre centré sur Katharos, un jeune homme tourmenté par son passé. Au fil des pages, ce personnage principal vivra une chute morale. Le roman narre un destin semblable à celui de toute autre personne ayant travers...

Full description

Bibliographic Details
Main Author: Mongenais, Catherine
Other Authors: Hotte, Lucie
Format: Others
Language:fr
Published: Université d'Ottawa / University of Ottawa 2017
Subjects:
Online Access:http://hdl.handle.net/10393/36612
http://dx.doi.org/10.20381/ruor-20892
Description
Summary:Cette thèse en création littéraire comporte d’abord un roman jeunesse : La violence de vivre centré sur Katharos, un jeune homme tourmenté par son passé. Au fil des pages, ce personnage principal vivra une chute morale. Le roman narre un destin semblable à celui de toute autre personne ayant traversé l’humanité : c’est l’histoire de la rencontre d’une âme avec la douleur, des choix qui résulteront de cette rencontre et de leurs effets. Néanmoins, c’est également un roman qui montre les fréquentations, les amitiés ainsi que les liens familiaux du personnage et à quel point ces gens qui l’entourent peuvent ajouter à ses souffrances ou alors faire germer en lui force et espoir. Le deuxième volet de la thèse porte sur la question de l’écriture en tant qu’instrument pour produire une catharsis chez le lecteur. Cette deuxième section est divisée en deux chapitres : le premier portant sur la théorie aristotélicienne de la catharsis, le second analysant La violence de vivre sous la lunette de la catharsis. Ainsi, ce volet théorique cherche, d’une part, à définir la catharsis selon Aristote et les éléments qui participent à la construction de cette notion; d’autre part, à déterminer si La violence de vivre parvient à déclencher ou non une catharsis pour ses lecteurs. Somme toute, il n’y a qu’une énigme au cœur de cette thèse. Comment peut-on, en création, employer l’écriture pour transformer le lecteur? Plus particulièrement, peut-on diriger cette catharsis du lecteur de manière à lui prodiguer de l’espoir?