Hyperfiction, creativity and postmodern novel

Depuis l’invention du terme hypertexte par Ted Nelson en 1965, il y a eu des débats fréquents à propos des mérites et des dangers des textes numériques, pour savoir si le développement des technologies informatiques causerait l’obsolescence des supports imprimés. Les prophéties étaient apocalyptique...

Full description

Bibliographic Details
Main Author: Darougari, Baharak
Other Authors: Strasbourg
Language:en
Published: 2018
Subjects:
002
Online Access:http://www.theses.fr/2018STRAC021/document
Description
Summary:Depuis l’invention du terme hypertexte par Ted Nelson en 1965, il y a eu des débats fréquents à propos des mérites et des dangers des textes numériques, pour savoir si le développement des technologies informatiques causerait l’obsolescence des supports imprimés. Les prophéties étaient apocalyptiques et l’avenir des livres semblait sombre. Environ cinquante ans plus tard, tant les supports imprimés qui étaient condamnés que les hypertextes numériques qui semblaient être leurs exécuteurs existent encore. Les romans sont toujours populaires et les hypertextes aussi. Nul n’est dépassé ou éradiqué par l’autre. Au contraire, la coexistence des livres et leurs homologues numériques a affecté notre perception des textes, des lecteurs, des auteurs et de l’expérience de lecture. Plus important, l’échange entre les deux médias a eu comme résultat l’apparition d’une fiction expérimentale exceptionnelle à la fois sur écran et sur papier. La conjonction entre la fiction et les technologies numériques est au centre de ce projet qui vise à d’étudier l’hyperfiction, ses racines dans la fiction traditionnelle et ses descendants imprimés. === Since Ted Nelson coined the term “hypertext” in 1965, there have been frequent debates on the merits and dangers of digital texts and whether the development of digital technology would outdate the print-based medium. The prophecies were apocalyptic and the future of books seemed bleak. About fifty years later, the doomed print-based medium and the digital hypertexts, their would-be executioners,both still exist. Novels are still popular and so is hyperfiction. Neither outdated or eradicated the other. Instead, the coexistence of books and their digital counterparts has affected ourperception of text, reader, writer and the reading experience. More importantly, the exchange between the two media has resulted in exceptional experimental fiction both on screen and on paper. The conjunction between fiction and digital technology is of concern to this project which attempts to study hyperfiction, its roots in fiction and its printed descendants.