Summary: | An reuilletant les livres d’histoire littêraire depuis la guerre, on trouve assez rarement le nom d’Henri Thomas. Si, dans queleues use, il s’y trouve, ce n’est normalement que dans une brove mention de quelques phrases. On no trouve pas son nom par exemple ni dans le livre de P.H. Simon ni dans celui de Louis Chaigne sur la literature française contemporaine. Pierre de soisdeffre ne lui accorde qu’une phrase dans une parenthêse, et dans son livre plus recent intitule Les derivains française d’audourd’hui il no fait même pas mention de Thomas. Pourice Nadeau lui conscore une douzaine de lignes dans non livre sur le roman d’apres-guerre. Parmi les livres ou il est question de Thomas, il n’y a quo très peu qui examinant Thomas romansier plutôt que Thomas poète, bien que où poésie soit une partie mineure de son oeuvre. On trouve que la meme situation exists dans la critique. Sa poésie, don’t il a publiée très au depuis 1950 est etudiee plusieurs fois, mais il n’y a Presque rien sur ses romans. J’ai releve seulement quatre articles critiques qui traitent l’ensemble de son oeuvre, et deux des quatre datent d’avant sa periode la plus feconde.
Rors de France, l’interet critique est nui. Ce nanque d’intérêt critique semble estrange pour un auteur don’t l’oeuvre s’étend sur plus de trente annoes, et qui comprend onze romens, cinq recueile de poesie, et deux recueils de nouvelles; et encore plus, sour un auteur qui a gagné les prix Sainte-Reuve, Medicis, et Fémine.
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