L’interrogation à l’oral en français contemporain : une étude quantitative des structures interrogatives

Le but de ce projet était de réaliser une étude quantitative sur l’interrogation à l’oral en français contemporain de France. Cette étude porte uniquement sur les questions associées à l’interrogation partielle et les particules interrogatives combien, comment, où, pourquoi, et quand. On est parti a...

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Main Author: Aylward, Travis Rendle Jenner
Language:French
Published: University of British Columbia 2010
Online Access:http://hdl.handle.net/2429/18034
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spelling ndltd-UBC-oai-circle.library.ubc.ca-2429-180342018-01-05T17:24:06Z L’interrogation à l’oral en français contemporain : une étude quantitative des structures interrogatives Aylward, Travis Rendle Jenner Le but de ce projet était de réaliser une étude quantitative sur l’interrogation à l’oral en français contemporain de France. Cette étude porte uniquement sur les questions associées à l’interrogation partielle et les particules interrogatives combien, comment, où, pourquoi, et quand. On est parti avec l’hypothèse que les locuteurs ont de fortes tendances à garder la structure syntaxique déclarative ou Sujet + Verbe (+ Objet) dans leurs interrogations. On a fait cette étude à partir d’une compilation de transcriptions de documents oraux provenant de locuteurs divers et traitant de sujets variés. On a analysé un total de 468 particules interrogatives à partir des constructions verbales et interrogatives. On a regardé les fonctions valencielles et rectionelles, les verbes principaux, la présence des prépositions et des introducteurs, les formes de l’interrogation directe et indirecte, la place de la particule par rapport au verbe principal, la présence de est-ce que ainsi que le type et la place du sujet dans la construction. En outre, on a fait un survol des études précédentes et on a comparé les données quand c’était possible. En général, on a trouvé que les particules analysées avaient des traits qui leur sont particuliers. Toutefois, dans l’ensemble, on a trouvé que les questions directes étaient de loin les formes les plus fréquentes et que les particules se trouvaient la plupart du temps en tête de la phrase. Par ailleurs, on a trouvé que la présence de est-ce que était peu fréquente et que les sujets étaient principalement pronominaux et antéposés au verbe principal. Arts, Faculty of French, Hispanic, and Italian Studies, Department of Graduate 2010-01-12T15:25:53Z 2010-01-12T15:25:53Z 2010 2010-05 Text Thesis/Dissertation http://hdl.handle.net/2429/18034 fre Attribution-NonCommercial-NoDerivatives 4.0 International http://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/4.0/ University of British Columbia
collection NDLTD
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sources NDLTD
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