Stratégies de traduction de bandes dessinées humoristique du français vers le chinois -- Au travers d'exemples pris dans les bandes dessinées Gaston Lagaffe et Lucky Luke

碩士 === 輔仁大學 === 法國語文學系 === 94 === Ce mémoire se compose de cinq chapitres ainsi qu’une traduction chinoise. Dans le première chapitre, je présente une introduction générale et méthodologique dans laquelle j’aborde des questions comme : Comment traduire les bandes dessinées humoristiques du français...

Full description

Bibliographic Details
Main Authors: LIN Yi-Ling, 林怡伶
Other Authors: HUANG Meng-Lan
Format: Others
Language:zh-TW
Published: 2006
Online Access:http://ndltd.ncl.edu.tw/handle/46758301769338594943
Description
Summary:碩士 === 輔仁大學 === 法國語文學系 === 94 === Ce mémoire se compose de cinq chapitres ainsi qu’une traduction chinoise. Dans le première chapitre, je présente une introduction générale et méthodologique dans laquelle j’aborde des questions comme : Comment traduire les bandes dessinées humoristiques du français vers le chinois ? Quels principes de traduction faut-il suivre et quelles stratégies de traduction faut-il adopter en les traduisant ? Le deuxième chapitre est une présentation globale de deux bandes dessinées que j’ai étudiées, il s’agit de Gaston Lagaffe et Lucky Luke, y compris les auteurs Franquin et Morris, les deux séries en question, les deux albums que j’ai traduits ainsi que les personnages principaux dans les albums. Le chapitre trois, composé de deux parties, est consacré aux théories : la 1ère partie porte sur la traduction et la 2è sur les bandes dessinées. La première partie est centrée sur le principe de la fidélité, à partir de là, je parle des limites de traduction, en particulier des difficultés et des écarts provoqués par les différences culturelles et par les calembours, les jeux de mot dans la traduction. J’insiste sur ces deux facteurs importants qui produisent des difficultés à traduire en donnant de nombreux exemples concrets. Et puis, la seconde partie présente les définitions de bandes dessinées, y compris leurs éléments principaux et leurs caractéristiques. À travers les recherches théoriques, j’ai dégagé quatre principes de base pour la traduction des bandes dessinées du français vers le chinois. Dans le quatrième chapitre, je présente mes stratégies adoptées pour la traduction des bandes dessinées humoristiques que j’ai effectuée. Je traite également à fond des difficultés de traduciton en analysant des exemples pris dans la traduction chinoise, et je propose à la fois des solutions pour les résoudre. Cette analyse comprend cinq parties : - La première aborde l'influence et la contradiction des différences culturelles en traduction. - La seconde partie est consacrée à la polysémie des lexiques courants et oraux. En traduisant, il faut d’abord les bien comprendre en contexte, et réexprimer ensuite le sens convenable en chinois. Cela m’a causé quelques ennuis. - La troisième partie présente le calembour que l’on rencontre souvent dans les bandes dessinées humoristiques. C’est le moyen le plus efficace pour faire rire les lecteurs. Malheuresement, c’est aussi le défi le plus difficile à relever pour les traducteurs du fait des éléments, des structures très différents entre deux langues. - Dans la quatrième partie, je traite des noms propres, y compris des noms ou des prénoms de personne et des noms de lieux. - Dans la cinquième partie, j’ai mis l’accent sur les onomatopés qui jouent un rôle très important dans les bandes dessinées. En conclusion, je résume les difficultés rencontrées pendant la rédaction du mémoire et je soumets des propositions pour les surmonter. En effe, je constate qu’une traduction comme adéquation parfaite entre deux langues est impossible. Il est indispensable de remanier les principes et les stratégies de traduction selon différents genres de texte, différents styles, ainsi que les objectifs à atteindre et les récepteurs, etc... afin de faire une tradution quasiment parfaite.