Fluctuations supraconductrices comme source de l'effet Nernst dans un cuprate dop?? en ??lectrons

D'une part, l'effet Nernst est connu pour ??tre sensible aux fluctuations supraconductrices, c'est-??-dire aux manifestations de l'??tat supraconducteur ?? des temp??ratures sup??rieures ?? la temp??rature critique. D'autre part, les cuprates, en raison de leur caract??re fo...

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Main Author: Lalibert??, Francis
Other Authors: Taillefer, Louis
Language:French
Published: Universit?? de Sherbrooke 2013
Subjects:
Online Access:http://savoirs.usherbrooke.ca/handle/11143/58
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spelling ndltd-LACETR-oai-collectionscanada.gc.ca-QSHERU.3-582014-04-08T03:41:18Z Fluctuations supraconductrices comme source de l'effet Nernst dans un cuprate dop?? en ??lectrons Lalibert??, Francis Taillefer, Louis Supraconducteur Cuprates Effet Nernst Fluctuations D'une part, l'effet Nernst est connu pour ??tre sensible aux fluctuations supraconductrices, c'est-??-dire aux manifestations de l'??tat supraconducteur ?? des temp??ratures sup??rieures ?? la temp??rature critique. D'autre part, les cuprates, en raison de leur caract??re fortement bi-dimensionnel et de leur courte longueur de coh??rence, sont sujets ?? ??tre particuli??rement affect??s par les fluctuations de phase de l'ordre supraconducteur. Ces deux ??l??ments sont ?? l'origine d'une croyance tr??s r??pandue selon laquelle les fluctuations de phase sont la cause de l'amplitude anormalement grande de l'effet Nernst dans les cuprates et sont associ??es ?? la pr??sence du pseudogap du c??t?? sous-dop??. Dans cette th??se, l'effet Nernst d'un cuprate dop?? en ??lectrons a ??t?? mesur?? afin d'??tablir la nature des fluctuations. Les ??chantillons ??tudi??s, des couches minces de PCCO, r??v??lent que la th??orie classique des fluctuations gaussiennes peut ad??quatement d??crire le signal obtenu, ?? condition que la contribution des quasi-particules soit correctement trait??e. L'??volution en fonction du dopage, du r??gime sous-dop?? ?? celui sur-dop??, montre que l'amplitude des fluctuations dans l'effet Nernst suit la d??pendance en d??me de la temp??rature critique, tout comme dans les cuprates dop?? en trous et en opposition avec un sc??nario de fluctuations de phase. Les r??sultats obtenus, en accord quantitatif avec ceux des ??tudes ant??rieures, permettent de conclure que le diagramme de phase des cuprates est domin?? par la comp??tition de phase et la criticalit?? quantique causant une reconstruction de la surface de Fermi. 2013-12-20T20:32:50Z 2013-12-20T20:32:50Z 2013 2013 Th??se http://savoirs.usherbrooke.ca/handle/11143/58 fre ?? Francis Lalibert?? Universit?? de Sherbrooke
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Cuprates
Effet Nernst
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Cuprates
Effet Nernst
Fluctuations
Lalibert??, Francis
Fluctuations supraconductrices comme source de l'effet Nernst dans un cuprate dop?? en ??lectrons
description D'une part, l'effet Nernst est connu pour ??tre sensible aux fluctuations supraconductrices, c'est-??-dire aux manifestations de l'??tat supraconducteur ?? des temp??ratures sup??rieures ?? la temp??rature critique. D'autre part, les cuprates, en raison de leur caract??re fortement bi-dimensionnel et de leur courte longueur de coh??rence, sont sujets ?? ??tre particuli??rement affect??s par les fluctuations de phase de l'ordre supraconducteur. Ces deux ??l??ments sont ?? l'origine d'une croyance tr??s r??pandue selon laquelle les fluctuations de phase sont la cause de l'amplitude anormalement grande de l'effet Nernst dans les cuprates et sont associ??es ?? la pr??sence du pseudogap du c??t?? sous-dop??. Dans cette th??se, l'effet Nernst d'un cuprate dop?? en ??lectrons a ??t?? mesur?? afin d'??tablir la nature des fluctuations. Les ??chantillons ??tudi??s, des couches minces de PCCO, r??v??lent que la th??orie classique des fluctuations gaussiennes peut ad??quatement d??crire le signal obtenu, ?? condition que la contribution des quasi-particules soit correctement trait??e. L'??volution en fonction du dopage, du r??gime sous-dop?? ?? celui sur-dop??, montre que l'amplitude des fluctuations dans l'effet Nernst suit la d??pendance en d??me de la temp??rature critique, tout comme dans les cuprates dop?? en trous et en opposition avec un sc??nario de fluctuations de phase. Les r??sultats obtenus, en accord quantitatif avec ceux des ??tudes ant??rieures, permettent de conclure que le diagramme de phase des cuprates est domin?? par la comp??tition de phase et la criticalit?? quantique causant une reconstruction de la surface de Fermi.
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