Étude comparée du colmatage en nanofiltration et en ultrafiltration d'eau de surface
Les procédés de séparation membranaire peuvent servir à produire de l’eau potable à partir de l’eau de surface puisqu’ils permettent d’enlever les particules inertes en suspension, les colloïdes organiques et les micro-organismes pathogènes. L’implantation de tels procédés passe par le contrôle du c...
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Format: | Others |
Language: | FR |
Published: |
Université Laval
2004
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Online Access: | http://www.theses.ulaval.ca/2004/22074/22074.html http://www.theses.ulaval.ca/2004/22074/22074.pdf |
Summary: | Les procédés de séparation membranaire peuvent servir à produire de l’eau potable à partir de l’eau de surface puisqu’ils permettent d’enlever les particules inertes en suspension, les colloïdes organiques et les micro-organismes pathogènes. L’implantation de tels procédés passe par le contrôle du colmatage des membranes. Or, les cinétiques de colmatage dépendent de la qualité de l’eau à filtrer, des membranes utilisées et des conditions d’opération.
La présente étude, à l’échelle de laboratoire, consiste à comparer le colmatage en ultrafiltration en écoulement frontal, en ultrafiltration en écoulement tangentiel et en nanofiltration en écoulement tangentiel d’eaux de surface naturelles et altérées. Cette étude s’inscrit dans une série d’études qui vise finalement une meilleure compréhension des mécanismes de colmatage, le développement d’un indicateur de colmatage et le développement de prétraitements à la nanofiltration.
Les résultats font ressortir l’impact des altérations des eaux, du prétraitement et des conditions d’opération sur la cinétique du colmatage, sur les divers taux de séparation et sur l’efficacité des différents lavages des membranes.
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