Effet de l’implantation d’un bâtiment collectif sur le confort hygrothermique intérieur cas de Biskra, Algérie

L’Algérie est en face de contraintes climatiques énormes. Il s’agit du règne d’un climat chaud et sec sur les quatre cinquième du territoire national. D’où le choix de l’aspect climatique comme stratégie d’économie d’énergie. L’intégration à grande échelle de cet aspect semble ignorée par les conce...

Full description

Bibliographic Details
Main Author: Berghout, Belkacem
Format: Others
Published: École de technologie supérieure 2012
Online Access:http://espace.etsmtl.ca/1007/1/BERGHOUT_Belkacem.pdf
http://espace.etsmtl.ca/1007/2/BERGHOUT_Belkacem%2Dweb.pdf
Description
Summary:L’Algérie est en face de contraintes climatiques énormes. Il s’agit du règne d’un climat chaud et sec sur les quatre cinquième du territoire national. D’où le choix de l’aspect climatique comme stratégie d’économie d’énergie. L’intégration à grande échelle de cet aspect semble ignorée par les concepteurs. Ces contraintes suscitées peuvent devenir des potentialités. Cette étude examine l’analyse de la performance énergétique d’un bâtiment collectif sous les conditions climatiques de la ville de Biskra dans le but de maîtriser naturellement le confort d’été et d’hiver, en plus de réduire considérablement les dépenses en climatisation et en chauffage. La recherche porte particulièrement sur l’influence de l’implantation d’un bâtiment et l’orientation de ses façades par rapport aux rayonnements solaires et au vent, sur la réduction des besoins en énergie de climatisation et chauffage nécessaire pour une amélioration des conditions de température intérieure. La prise en considération de l’orientation optimale, ainsi que du bon choix de la couleur extérieure des parois, et l’intégration d’un dispositif d’ombrage tel que la loggia démontre une réduction efficace de la température intérieure des séjours objet de l’étude et une diminution de la fluctuation de cette dernière. Ainsi, le résultat induit une réduction de l’entrée de la chaleur impliquant une diminution de la consommation énergétique reliée à la climatisation et au chauffage. Les résultats obtenus dans cette recherche sont confirmés par P. Lavigne, J.L Izard et Givoni.