Summary: | Previous studies on the impacts of cattle on the aquatic environment have mainly focused on cold water systems with high intensity grazing, and may be of limited relevance for assessing impacts of cattle grazing on low gradient, low intensity sites such as those in eastern Ontario. The present study looks at changes to the aquatic habitat following the removal of cattle from a watercourse. Biomonitoring was completed at an aquatic restoration site over a four year period encompassing pre- and post-implementation conditions. The initial results indicated modest improvements in the habitat and in the benthic macroinvertebrate and fish communities following exclusion of cattle from the watercourse. Trends over time suggested an increase in the proportion of sensitive benthic macroinvertebrates, a decrease in tolerant benthic species and an increase in fish density. Longer-term monitoring is required to observe changes to the aquatic communities following the growth of woody riparian vegetation. === Par la passé, plusieurs scientifiques ont étudié l'effet du bétail sur le milieu aquatique utilisant des sites où se trouve une haute densité de vaches dans des endroits où les cours d'eaux ont une forte pente. Puisque nous utilisons des sites dans l'Est Ontarien, les résultats de ces recherches auront peu de pertinence en ce qui concerne cette présente étude car la majorité des sites de la région sont ceux où l'on retrouve peu de vaches et des cours d'eaux ayant une faible pente. Cette thèse examine les changements du milieu aquatique suivant l'enlèvement des vaches à proximité du cours d'eau, et ce, depuis les quatre dernières années, incluant les conditions pré et post implémentation. Les résultats indiquent une amélioration modeste d'habitat et des communautés de macroinvertébrées benthiques et de poissons. Les tendances au fil du temps ont suggérées qu'il y eu une amélioration des proportions de macroinvertébrées benthiques sensible, une diminution de macroinvertébrées benthiques insensible et un accroissement dans le nombre de poissons. Plusieurs années seraient nécessaires pour étudier les effets de la croissance des arbres et arbustes sur les communautés aquatiques.
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