Summary: | Research has demonstrated that attachment anxiety undermines our ongoing relationships; however, less is known about the role anxiety plays in the context of relationship initiation (Creasey & Jarvis, 2008; Mikulincer & Shaver, 2007). The present research therefore explored how attachment anxiety affects people's behaviour and outcomes in initial interactions. The first manuscript presents two studies using a social dilemma game paradigm. In the first study, chronic attachment anxiety was associated with uncertainty about cooperation and longer decision latencies in selecting their behaviour. In the second study, the contextual activation of attachment security was used to ameliorate the effects of chronic anxiety. The next two manuscripts examined more overtly interpersonal contexts. In the second manuscript, field data collected at speed-dating demonstrated that attachment anxiety was associated with lower romantic selectivitythat is, more anxious participants made attempts to pursue further contact with a larger number of potential dating partnersand decreased romantic popularitymore anxious participants were pursued for further contact by fewer potential dating partners. In a signal detection analysis, it was shown that more anxious participants were therefore making more false alarms, or maximizing the number of failed relationship initiation attempts. Finally, the third manuscript sought to test a meditational model, wherein the link between attachment anxiety and negative social outcomes in initial interactions was mediated by theory-derived interpersonal displays. In a first study, participants filmed a video introducing themselves to an attractive, available confederate in another room; these videos were coded by peer research assistants. In a second study, participants engaged in speed-dating and were evaluated by potential dating partners. In a third study, participants engaged in a semi-structured, 40 minute interaction with a confederate. Video === Bien que les recherches soutiennent l'idée que l'attachement anxieux a des effets indésirables sur nos relations interpersonnelles courantes, on en sait encore peu quant au rôle joué par l'anxiété sur l'initiation d'une relation (Creasey & Jarvis, 2008; Mikulincer & Shaver, 2007). La présente recherche explore donc comment l'attachement anxieux affecte les comportements des individus et l'initiation d'une interaction. Le premier manuscrit inclut deux études ayant utilisé un jeu portant sur un dilemme social. Dans la première étude, l'attachement anxieux chronique était associé avec l'incertitude concernant la coopération et une plus longue période de latence quant au choix des comportements. Dans la deuxième étude, l'activation contextuelle de la sécurité d'attachement a été utilisée afin d'améliorer les effets de l'anxiété chronique. Les deux autres manuscrits examinent plus directement différents contextes interpersonnels. Dans le deuxième manuscrit, des données recueillies sur le terrain lors d'un speed-dating ont démontré que l'attachement anxieux était associé à une sélectivité romantique plus faible. En d'autres mots, les participants plus anxieux ont tenté de poursuivre les contacts amorcés lors du speed-dating avec un plus grand nombre de partenaires amoureux potentiels. De plus, ils avaient une popularité romantique plus faible, c'est-à-dire que moins de partenaires amoureux potentiels choisissaient de poursuivre avec les participants anxieux. Dans une analyse de détection de signaux, les participants qui étaient davantage anxieux, faisaient plus de fausses alarmes ou maximisaient le nombre de tentatives échouées d'initiation de relation. Finalement, le troisième manuscrit évalue un modèle de médiation où les manifestations interpersonnelles agissent comme médiateur dans le lien entre l'attachement anxieux et les effets sociaux négatifs lors d'une première interaction. Dans une première étude, les part
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