Summary: | Building on the limited foundation of asset-based research in Aboriginal communities, this study explores how Aboriginal peoples living off reserve experience and perceive resilience. In-depth, semi-structured interviews were conducted with five Aboriginal members of a small, non-native community. Themes emerging from the interviews highlight the importance of connections to family, culture, community, land, and public services, as well as to a sense of life purpose. These results support and expand existing resilience theory, and relate to social determinants of health and social capital theories. Implications of the study demonstrate the importance of a holistic approach to personal well-being, responsibility for which is balanced between the individual and society, and which requires careful negotiation between Aboriginal and mainstream cultures. === Puisque la plupart des études sur les questions autochtones se concentrent sur les problèmes et les conflits, on oublie souvent d’examiner la force caractère et la persévérance démontrées par les peuples autochtones. Le sujet de cette recherche est le bien-être et la réussite des personnes autochtones qui habitent hors-réserve. Les entrevues ont été faites avec cinq individus autochtones dans une petite communauté au Québec. Les thèmes qui en ressortent démontrent l’importance des liens avec la famille, la culture, la communauté, la terre, et les services sociaux, ainsi que l’importance d’avoir une ‘raison d’être’. La théorie de résilience est à la fois soutenue et élargie par ces résultats, qui se rapportent aussi aux théories sociologiques comme le capital social. Cette étude démontre la valeur d’une approche holistique au bien-être, et souligne l’équilibre de la responsabilité entre l’individu et l’état. Elle souligne aussi l’importance qu’il faut porter aux négotiations entre les différentes cultures.
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