Welfare effects of herbicide-tolerant rice adoption in southern Brazil
The advent of new biological technologies requires significant investment in research and development (R&D). The public sector has historically lead initiatives in agricultural R&D, which due to its public goods nature and high investment risk, the private sector has had limited ince...
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McGill University
2012
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Economics - Agricultural Galli, Fabrizio Welfare effects of herbicide-tolerant rice adoption in southern Brazil |
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The advent of new biological technologies requires significant investment in research and development (R&D). The public sector has historically lead initiatives in agricultural R&D, which due to its public goods nature and high investment risk, the private sector has had limited incentive to participate. However, with the consolidation of intellectual property mechanisms in agriculture – such as Plant Breeders Rights and patents – and the increasing debate on the appropriate rigor they ought to entail, the private sector has accounted for a significant share of the R&D expenditure in the past two decades. Given the ease with which seeds can be reproduced, intellectual property rights (IPRs) and the appropriation of benefits from biological innovations remain controversial. This study investigates the implications of IPRs to the distribution of welfare resulting from the development and introduction of herbicide tolerant rice (known commercially as Clearfield Rice) by a multinational firm (BASF) in southern Brazil. We employ the surplus model by Alston, Norton and Pardey (1995) to estimate the economic surplus accruing to rice producers and the innovator and find that under the current IPR system, under which the Plant Variety Protection Law does not restrain saved seeds' sales, farmers capture the largest share of the economic benefits. We analyze changes to the distribution of welfare under IPR enforcement and find that although both actors would realize larger economic gains, farmers would capture a substantial share of total benefits. Therefore, farmers can gain considerably from IPR-protected biological innovation and at the same time, private investment in research may depend on IPR enforcement that allows sizeable appropriation of economic gains. === L'avènement des nouvelles technologies biologiques exige des investissements importants en recherche et développement (R&D). Le secteur public a historiquement dirigé les initiatives de R&D agricole, qui en raison de son caractère de bien public caracteristique comme un bien public et le risque d'investissement élevé, le secteur privé a eu peu d'incitation à participer. Néanmoins, avec l'affermissement des mécanismes de la propriété intellectuelle dans l'agriculture – tels que Plant Breeders Rights et des brevets – ainsi que le débat croissant sur la rigueur qu'elles possèdent, le secteur privé a été responsable pour une portion significative des dépenses en R&D durant les deux dernières décennies. Étant donné la facilité avec laquelle les graines peuvent être reproduites, les droits de la propriété intellectuelle (DPIs) et l'appropriation des avantages des innovations biologiques est toujours un sujet à controverse. Cette étude porte sur les implications des DPIs sur la distribution de bien être à la suite du développement et introduction d'un espèce de riz tolérant aux herbicides (commercialisé sous le nom Clearfield Rice) par une firme multinational (BASF) dans le sud du Brésil. Nous utilisons le model excédentaire par Alston, Norton and Pardey (1995) pour estimer le surplus économique revenant aux producteurs de riz et à l'innovateur. Nous avons trouvé qu'avec le system des DPI actuel, sous lequel la loi de protection des variétés végétales ne limite pas la vente des graines sauvegardées, ce sont les producteurs qui reçoivent la plus grande partie des avantages économiques. Nous analysons les changements à la distribution de bien être dans l'application des DPIs et nous trouvons que même si les innovateurs et les producteurs réalisent des bénéfices économiques, ce sont les producteurs qui recueillent une portion significative des avantages totaux. Par conséquent, les producteurs peuvent bénéficier de l'innovation biologique protégé par les DPIs. En même temps, l'investissement privé en recherche peut dépendre sur l'application des DPIs qui permettent l'appropriation significative des gains économiques. |
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