Summary: | Predictors of weight change throughout the first year postpartum were examined using data from 314 Ghanaian HIV-positive (HIV-P) and HIV-negative (HIV-N) women. The overall effect over one year postpartum was a loss in average weight in HIV-P women and a gain in average weight in HIV-N women. After controlling for confounders, weight change was negatively associated with being HIV-P and having a higher number of days of breastfeeding and illness, and positively associated with being a trader. To complement the quantitative analysis, qualitative data on nutrition education services provided to HIV-P women in Ghana were collected through focus group discussions with 38 HIV-P women, and semi-structured interviews with 12 health workers, 5 non-governmental and governmental personnel and a community leader. Financial insecurity, low support from health services, and stigma limited the women's ability to follow recommendations received. Barriers to providing more nutrition education included lack of audience-appropriate materials and in-service training. HIV-P women may need individualized nutrition counselling to help them maintain a normal weight during the postpartum period. === Les prédicateurs du changement de poids durant la première année postpartum ont été examinés en utilisant des données de 314 femmes Ghanéennes VIH-positives (VIH-P) et VIH-négatives (VIH-N). L'effet achevé après un an postpartum, en moyenne, était une perte de poids par les femmes qui sont VIH-P et un gain de poids par les femmes qui sont VIH-N. Après avoir contrôler d'autres facteurs, le changement de poids se retrouve négativement corrélé avec VIH-P et le fait d'avoir plus de jours d'allaitement et des maladies, par contre positivement associe avec être un trader. De plus, pour compléter l'analyse quantitative, des informations qualitatives sur les services d'éducation nutritifs fournis aux femmes qui sont VIH-p à Ghana ont été recueillis grâce à des discussions de groupe avec 38 femmes VIH-p, et aussi a travers des entrevues semi-structurées avec 12 inspecteurs de santé, 5 non gouvernementales et gouvernementales personnels et un dirigeant de la communauté. Les obstacles à une éducation nutritionnelle figuraient notamment le manque d'auditoire de matériels appropriés et de la formation continue. L'insécurité financière, le faible soutien des services de santé, et la stigmatisation limite la capacité des femmes à suivre les recommandations reçues. Les femmes VIH-P auraient éventuellement besoin de conseils de nutrition individuels pour les aider à maintenir un poids normal au cours de la période postpartum.
|