Desamparo : do processo de criação artística ao "esfarelamento" do narrador

Cette dissertation est divisée en deux parties. La première – « raconter » – s’agit d’un roman inédit titré desamparo dont je suis l’auteur. La deuxième partie – « disserter » – c’est le produit d’un examen théorique sur le roman – surtout sur le narrateur – et sur le procédé de la création artistiq...

Full description

Bibliographic Details
Main Author: Martins, Altair Teixeira
Other Authors: Silva, Márcia Ivana de Lima e
Format: Others
Language:Portuguese
Published: 2007
Subjects:
Online Access:http://hdl.handle.net/10183/8581
Description
Summary:Cette dissertation est divisée en deux parties. La première – « raconter » – s’agit d’un roman inédit titré desamparo dont je suis l’auteur. La deuxième partie – « disserter » – c’est le produit d’un examen théorique sur le roman – surtout sur le narrateur – et sur le procédé de la création artistique. Donc le travail se propose à présenter un débat entre ce que j’ai nommé « l’être historique » (les éléments de la réalité contextuelle, au-delà de la littérature) et « l’être estorique » (ce qui est traduit par les circonstances de vérité ou de cohérance internes, c’est-àdire les éléments littéraires). Ainsi, l’acte de la création semble une tragédie préconisée par Nietzsche comme le produit du combat entre Dionisio (celui qui détrempe) et Apolo (celui qui équilibre). === Esta dissertação se divide em duas partes. A primeira – “O narrar” –, correspondente ao corpo ficcional, é um romance inédito de minha autoria, intitulado desamparo; a segunda – “O dissertar” – é o resultado de um exame teórico acerca do gênero – sobretudo do narrador – e do processo de criação artística. Trata-se, pois, de um embate decalcado entre o que denominei ser histórico (os elementos da realidade contextual, extraliterários) e ser estórico (traduzido pelas circunstâncias de verdade ou coerência internas, portanto os elementos literários). Nessa medida, o ato criador assemelha-se a uma tragédia preconizada, em certa medida, por Nietzsche, da qual resulta o jogo de forças entre o Dionísio que destempera e o Apolo que equilibra.