Structures différentielles en géométrie complexe et presque complexe

Nous généralisons au contexte des faisceaux analytiques cohérents un résultat classique de Koszul-Malgrange concernant l'intégrabilité des connexions de type $(0,1)$ sur un fibré vectoriel complexe $(\cal C)^(\infty)$ au dessus d'une variété complexe. En introduisant la notion de faisceau...

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Main Author: PALI, Nefton
Language:FRE
Published: 2004
Subjects:
1)
Online Access:http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00007104
http://tel.archives-ouvertes.fr/docs/00/04/71/77/PDF/tel-00007095.pdf
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collection NDLTD
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topic [MATH] Mathematics
variétés complexes
faisceaux analytiques cohérents
algèbre homologique non-commutative
EDP quasi-linéaires
méthode Nash-Moser
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courbure de Chern
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fonctions J-plurisousharmoniques
courants positifs de type (1
1)
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faisceaux analytiques cohérents
algèbre homologique non-commutative
EDP quasi-linéaires
méthode Nash-Moser
variétés presque complexes
courbure de Chern
courbes J-holomorphes
fonctions J-plurisousharmoniques
courants positifs de type (1
1)
PALI, Nefton
Structures différentielles en géométrie complexe et presque complexe
description Nous généralisons au contexte des faisceaux analytiques cohérents un résultat classique de Koszul-Malgrange concernant l'intégrabilité des connexions de type $(0,1)$ sur un fibré vectoriel complexe $(\cal C)^(\infty)$ au dessus d'une variété complexe. En introduisant la notion de faisceau $\bar(\partial)$-cohérent, qui est une notion qui vit dans le contexte $(\cal C)^(\infty)$, nous montrons l'existence d'une équivalence (exacte) entre la catégorie des faisceaux analytiques cohérents et la catégorie des faisceaux $\bar(\partial)$-cohérents. L'application principale de cette caractérisation est une méthode (la $\bar(\partial)$-stabilité) qui permet de trouver des structures analytiques lesquelles sont obtenues par déformation $\ci$ d'autres structures analytiques. En suite nous conjecturons, comme dans le cas analytique complexe, que la notion de plurisousharmonicité pour une fonction $u$ sur une variété presque complexe est équivalente à la positivité du $(1,1)$-courant $i\partial\bar(\partial)u$. Nous montrons la nécessité de la positivité de ce courant. Nous montrons aussi la suffisance de la positivité dans le cas particulier d'une fonction semi-continue supérieurement et continue en dehors du lieu ou elle vaut $-\infty$.
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