L' assonance trasitoire dans le pèlerinage de Charlemagne et dans le cantar de mio cid

Il arrive dans la poésie médiévale, française et espagnole, que le premier vers d'une laisse maintienne I'assonance de la laisse qui précède. Parfois, mais plus rarement, le cas est inverse: le vers final d'une laisse annonce l'assonance de la laisse qui suit. Ce phénomène, que...

Full description

Bibliographic Details
Main Author: Vlado Drašković
Format: Article
Language:deu
Published: Znanstvena založba Filozofske fakultete Univerze v Ljubljani (Ljubljana University Press, Faculty of Arts) 1972-12-01
Series:Linguistica
Subjects:
Online Access:https://revije.ff.uni-lj.si/linguistica/article/view/5307
Description
Summary:Il arrive dans la poésie médiévale, française et espagnole, que le premier vers d'une laisse maintienne I'assonance de la laisse qui précède. Parfois, mais plus rarement, le cas est inverse: le vers final d'une laisse annonce l'assonance de la laisse qui suit. Ce phénomène, que nous appellerons laisse transitoire, est considéré comme nne des irrégularités métriques et les éditeurs ont, le plus souvent, recours à des corrections plus on mains notables. Que gagne-t-on par leurs corrections? Ou plutôt: qu'est-cequ'on y perd? C'est précisément ce que nons voudrions montrer en relevant tons les exemples du phénomène dans les deux oeuvres mentionnées ci-dessus.
ISSN:0024-3922
2350-420X