Summary: | There is a close connection between the prison institution and the labour market which leads back to the origins of prison, in a modern sense. The social, economic and political background of this relationship is marked by the “industrial revolutions”, because during these times the ideas of «division of labour» and «discipline» were defined and consequently influenced the new prison organization models. The Penitentiary Act recognizes the prisoner's right to work. Therefore to fill the gap between the prison and the territory, a political integrated model – both social and penitentiary – is required. In the text, this will be illustrated by experiences of prisoners and ex-prisoners at the Information Office Windows. The network method has given input to a procedure considered as an efficient way of managing the social complexity and a fair services distribution device; but, at the same time, it introduces “alternative” forms of social control.La naissance des prisons et le marché du travail sont liés par une relation qui revient aux origines de la prison en sens moderne. La scène qui fait d’arrière-plan à cette relation est contremarquée par les révolutions industrielles pendant lesquelles les notions de «division du travail» et de «discipline» ont été définies et ont étés décisives afin d'élaborer un modèle nouveau d'organisation des prisons. Aujourd’hui la législation pénitentiaire reconnaît au prisonnier le droit au travail: de cette façon, la liason entre la prison et le territoire requiert un plan intégré composé par de politiques pénitentiaires et sociales, ici expliqué par l’expérience positive des Guichets d'information pour détenus et ancien détenus. Le système de réseau a fait démarrer une “proceduralisation” qui apparaît un outil efficace de gestion de la complexité sociale et d’une equitable destination des services, mais qui risque de produire aussi des systèmes “alternatifs” de contrôle social.
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