“Nothing is so beautiful”: Hopkins’s Spring

Cet article aborde les raisons pour lesquelles Gerard Manley Hopkins aimait le printemps. Celles-ci allaient de simples réconforts physiques à des associations profondément religieuses, tout particulièrement avec la Vierge Marie. Les poèmes de Hopkins « Rosa Mystica », « The May Magnificat » et « Th...

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Main Author: Catherine Phillips
Format: Article
Language:English
Published: Maison de la Recherche en Sciences Humaines 2009-03-01
Series:Revue LISA
Online Access:http://journals.openedition.org/lisa/89
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spelling doaj-9af0eaed9a224c299488fb92fef370b32021-10-02T03:50:37ZengMaison de la Recherche en Sciences HumainesRevue LISA1762-61532009-03-0110911910.4000/lisa.89“Nothing is so beautiful”: Hopkins’s SpringCatherine PhillipsCet article aborde les raisons pour lesquelles Gerard Manley Hopkins aimait le printemps. Celles-ci allaient de simples réconforts physiques à des associations profondément religieuses, tout particulièrement avec la Vierge Marie. Les poèmes de Hopkins « Rosa Mystica », « The May Magnificat » et « The Blessed Virgin compared to the Air we Breathe » sont étudiés dans un contexte de dévotion mariale associée au mois de mai. L’article décrit également le développement ignatien de Hopkins et les conditions spécifiques de l’écriture des poèmes.http://journals.openedition.org/lisa/89
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description Cet article aborde les raisons pour lesquelles Gerard Manley Hopkins aimait le printemps. Celles-ci allaient de simples réconforts physiques à des associations profondément religieuses, tout particulièrement avec la Vierge Marie. Les poèmes de Hopkins « Rosa Mystica », « The May Magnificat » et « The Blessed Virgin compared to the Air we Breathe » sont étudiés dans un contexte de dévotion mariale associée au mois de mai. L’article décrit également le développement ignatien de Hopkins et les conditions spécifiques de l’écriture des poèmes.
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