A L’ENVERS, À L’ENDROIT : Freud et le littéraire, à la source
Dans une lettre à Wilhelm Fliess datant de 1898 Freud donne pour la toute première fois le commentaire d’un texte littéraire. Il souligne l’analogie entre la nouvelle de Conrad Ferdinand Meyer, Die Richterin, et le roman familial de ses patients. On peut suggérer que la lecture de Meyer par Freud au...
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Format: | Article |
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Radboud University Press in cooperation with Open Journals
2010-07-01
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Series: | Relief: Revue Électronique de Littérature Francaise |
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doaj-84ae1ba7ba1f40368c2e70be50d7ebfc2021-10-02T06:36:16ZengRadboud University Press in cooperation with Open JournalsRelief: Revue Électronique de Littérature Francaise1873-50452010-07-014114515910.18352/relief.491382A L’ENVERS, À L’ENDROIT : Freud et le littéraire, à la sourceSjef HouppermansDans une lettre à Wilhelm Fliess datant de 1898 Freud donne pour la toute première fois le commentaire d’un texte littéraire. Il souligne l’analogie entre la nouvelle de Conrad Ferdinand Meyer, Die Richterin, et le roman familial de ses patients. On peut suggérer que la lecture de Meyer par Freud aura aussi ses répercussions sur l’évolution ultérieure de la théorie psychanalytique.http://www.revue-relief.org/articles/10.18352/relief.491/FreudConrad Meyerfamilieromanunheimlich |
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Dans une lettre à Wilhelm Fliess datant de 1898 Freud donne pour la toute première fois le commentaire d’un texte littéraire. Il souligne l’analogie entre la nouvelle de Conrad Ferdinand Meyer, Die Richterin, et le roman familial de ses patients. On peut suggérer que la lecture de Meyer par Freud aura aussi ses répercussions sur l’évolution ultérieure de la théorie psychanalytique. |
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