La Numérisation des Thèses en France: Pour une Meilleure Valorisation de la Recherche Scientifique Française
Tels qu’ils existent actuellement, les procédés institutionnels de valorisation des thèses soutenues dans les universités et grands établissements français reposent sur deux circuits concomitants. En premier lieu les thèses soutenues sont déposées sous forme papier dans la bibliothèque de leur unive...
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2000-05-01
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Series: | Liber Quarterly: The Journal of European Research Libraries |
Online Access: | http://www.liberquarterly.eu/articles/10.18352/lq.7571/ |
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doaj-73ec4c0324ee4db4beaa67c18ec438712021-10-02T18:51:54Zengopenjournals.nlLiber Quarterly: The Journal of European Research Libraries2213-056X2000-05-01101263010.18352/lq.75717526La Numérisation des Thèses en France: Pour une Meilleure Valorisation de la Recherche Scientifique FrançaiseChristine Okret0N/aTels qu’ils existent actuellement, les procédés institutionnels de valorisation des thèses soutenues dans les universités et grands établissements français reposent sur deux circuits concomitants. En premier lieu les thèses soutenues sont déposées sous forme papier dans la bibliothèque de leur université de soutenance, où elles peuvent être consultées sur place, et prêtées par le biais du réseau de prêt entre bibliothèques. En second lieu, un exemplaire papier est transmis aux ateliers nationaux de reproduction des thèses chargés du microfichage des textes et de la diffusion systématique de ces microfiches auprès de toutes les bibliothèques universitaires. Ces deux formes de diffusion non commerciale présentent en regard des exigences des chercheurs trois inconvénients majeurs: la diffusion des thèses est géographiquement restreinte, puisque limitée aux bibliothèques universitaires; le support microfiche est jugé peu convivial; le prêt entre établissements est parfois trop lent ou onéreux, ce qui peut décourager les utilisateurs qui désirent consulter sur papier les thèses non conservées dans leur bibliothèque universitaire.http://www.liberquarterly.eu/articles/10.18352/lq.7571/ |
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Tels qu’ils existent actuellement, les procédés institutionnels de valorisation des thèses soutenues dans les universités et grands établissements français reposent sur deux circuits concomitants. En premier lieu les thèses soutenues sont déposées sous forme papier dans la bibliothèque de leur université de soutenance, où elles peuvent être consultées sur place, et prêtées par le biais du réseau de prêt entre bibliothèques. En second lieu, un exemplaire papier est transmis aux ateliers nationaux de reproduction des thèses chargés du microfichage des textes et de la diffusion systématique de ces microfiches auprès de toutes les bibliothèques universitaires. Ces deux formes de diffusion non commerciale présentent en regard des exigences des chercheurs trois inconvénients majeurs: la diffusion des thèses est géographiquement restreinte, puisque limitée aux bibliothèques universitaires; le support microfiche est jugé peu convivial; le prêt entre établissements est parfois trop lent ou onéreux, ce qui peut décourager les utilisateurs qui désirent consulter sur papier les thèses non conservées dans leur bibliothèque universitaire. |
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